Le développement durable a été défini il y a tout juste 20 ans dans le rapport Brundtland mais le modèle socio-économique qui doit permettre de faire converger les efforts des uns et des autres vers un équilibre des composantes sociales, environnementales et économiques, notamment à l’échelle des entreprises, n’a toujours pas vraiment été formalisé.
Ceci tient au fait que les interactions que les entreprises nourrissent avec leur environnement économique, social et environnemental ont des ramifications lointaines, plus ou moins floues et susceptibles d’avoir des impacts pas toujours durables.
- Comment être sûr de l’origine des composants qui constituent la photocopieuse du service de reprographie ?
- Comment s’assurer que les composants électroniques qui équipent nos ordinateurs ou nos téléphones n’ont pas fait plusieurs fois le tour du monde au cours de leur fabrication ?
- Comment garantir que les matières premières utilisées dans le processus de fabrication ont été élaborées conformément aux règles du travail édictées par le Bureau International du travail ?
- De la même façon comment s’assurer de la filière de rétuilisation ou de recyclage des produits ou prestations issues de nos activités ?
Qui plus est, certains dogmes -notamment l’aspect infini de certaines ressources naturelles- volent en éclats à la publication de résultats scientifiques aussi implacables que les rapports du GIEC sur le changement climatique. Ceci montre à quel point le développement durable est une notion difficile à appréhender et requiert un apprentissage continu et collectif des impacts de nos activités et des moyens de les contrôler.
Aussi, les modes mis en pratique dans les entreprises pour tenter de s’en approcher sont autant de sources de connaissance qu’il est nécessaire de partager pour autant que les données considérées ne sont pas confidentielles ou du ressort du secret industriel.
Le benchmark des meilleures pratiques de développement durable est un excellent moyen de mettre en commun les connaissances les plus avancées sur le sujet et des moyens de relever les challenges actuels, en fonction des ressources disponibles.
En quoi consiste notre service ?
6 étapes conduisent à la publication d’un rapport qui positionne de façon anonyme chacun des panélistes selon les critères de performance établis,et liste les meilleures pratiques.
- Etude de tendance.
- Formalisation des critères de comparaison.
- Identification d’un panel d’entreprises.
- Mise au point du questionnaire et des métriques de comparaison.
- Entretien de consolidation des réponses fournies par chacun des panélistes.
- Traitement des résultats, positionnement des entreprises et publication du rapport.
Quels sont les “plus” Optimum ?
- Une équipe de professionnels aux compétences diversifiées.
- Une approche pragmatique et participative des systèmes de management.
- Une volonté d’intégration des systèmes de management.
- Des méthodologies rigoureuses et originales inspirées des meilleures pratiques internationales.
- Des logiciels spécifiques permettant d’alléger la collecte et le traitement des données.
- Des références solides que nous tenons à votre disposition.
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